Diane : « Frottée Dans Le Métro Un Mal Pour Un Bien ? » Le Fantasme Du Train
Dêtre frottée dans le métro m'est arrivé des dizaines de fois mais mes réactions furent toutefois différentes à chaque fois. Ma première expérience de frotteur, j'étais en première au lycée, javais à peine 17 ans. Je me trouvais dans le métro, et tous les soirs à la sortie de lécole, toutes les rames étaient bondées, nous étions tous serrés lun contre lautre.
Je me tenais par la poignée suspendue au plafond, lhomme placé derrière se collait à moi et resserrait la pression car à chaque station, un flux de voyageurs plus important qui montaient que de personnes en descendaient. Au fur et à mesure, je sentais dans mon dos quelque chose de dur, juste sur mes reins. Jétais pétrifiée, je nosais pas me retourner et cet individu appuyait son engin de plus en plus en bougeant son bassin. Jétais prise entre deux sentiments, jétais gênée et pétrifiée de honte mais cette situation, je ne saurais dire pourquoi, mavais quelque peu excitée.
La deuxième fois, quelques jours plus tard, javais aperçu lhomme se trouvant derrière moi, il était gros et assez répugnant et ses manières furent identiques à la première fois. Je sentais son odeur nauséabonde et de ressentir sa verge en érection sur mes reins, me donnait envie de vomir. Comme la fois précédente, je navais pas osé me retourner et ne pouvais dire quoique ce soit, pourtant cet homme me dégoutait. Jai attendu coincée, dans cette position inconfortable, le temps nen finissait pas, voyant quil ne descendait toujours pas, jétais ressortie pour prendre le métro suivant.
Un jour, sur le même trajet, le métro nétait pas très bondé. Jétais debout simplement me tenant à une barre verticale. À nouveau, un homme tout à fait normal sétait doucement approché de moi. Soudain, il avait mis rapidement sa main entre mes cuisses pour essayer de toucher mon intimité. Il avait fait cela tout naturellement comme si cétait totalement normal. Un genre de jeu pour lui.
Pour la quatrième expérience, lhomme derrière moi étant de la même taille que moi, javais senti sa main redressant son pénis quil plaça directement entre la raie de mes fesses. Jimaginais sa verge, c'était dingue, elle devait être très grosse. Lorsquune nouvelle vague de passagers étaient montée, il se plaqua un peu plus contre moi en me mettant sa main sur mon ventre en pressant son sexe contre mon fessier, je fermais les yeux, je ressentais son érection et je mouillais ma petite culotte. Une nouvelle fois, je ne métais pas retournée, voulant garder en mémoire, dans mon esprit un bel homme me désirant. Le plaisir qui montait en moi redescendit aussi vite que le type qui sortit de la rame à la station suivante, jétais frustrée et déçue de ne pas en avoir profité plus longtemps.
Je me souviens d'une fois en particulier, le 15 novembre, je devais avoir 18 ans. Sur le quai, japerçu un jeune homme que je voyais tous les jours et nos regards se croisaient et nous nous sourions avant de monter dans une voiture différente. Ce jeune homme, dune vingtaine dannée, me plaisait mais semblait timide car javais limpression que cétait réciproque mais il nosait pas mapprocher. Ce soir-là, javais pris la décision de monter dans le même wagon que lui et comme certains hommes faisait avec moi, jattendais la première occasion pour me coller à lui, je me retrouvais dans son dos, une femme forte placée derrière moi me poussait.
Cétait loccasion rêvée, je me pressais contre lui et nayant plus de poignée pour me retenir, je maccrochais à son bras en mexcusant.
Ce nest pas grave mademoiselle, jai lhabitude cest tous les jours ainsi. Et vous sentir contre moi, est assez agréable.
Je vous avoue que jen avais profité, mes mains nétaient plus après ses bras mais directement sur son ventre. Je navais pas trop parlé, hormis quelques banalités et il me répondait à peine, absorbé par sa lecture. Je suis descendue avant lui mais ce voyage fut pour moi une révélation. Nous nous retrouvions tous les soirs de la semaine sur le quai, échangions quelques mots gentils puis montions dans le même wagon.
Javais pris lhabitude de me placer derrière lui et magrippant à lui, ainsi personne ne venait placer son sexe contre moi, croyant que jétais accompagnée. Je ressentais du plaisir à me trouver contre lui, je ne savais pas leffet que je lui faisais mais comme il se laissait faire et quil acceptait la situation, je continuais. Ce soir-là, ma tête vint se poser sur son épaule, à la station suivante, il sétait retourné et me colla à lui et membrassa à pleine bouche sans dire le moindre mot.
Pendant tout le voyage, je me frottais à lui, je sentais son érection prendre forme et au fur et à me mesure, je me serrais et jouais un peu du bassin pour lui procurer également du désir. Simon, cétait son prénom mit ses mains sur mes fesses et me plaqua encore un peu plus contre lui en simulant la pénétration, jétais tellement excitée que je mouillais fortement mais je pense que ce jour-là, il avait éjaculé car il sétait penché sur moi et reposait sa tête sur mon épaule et quelques râles sortirent de sa bouche. Nous nous sommes embrassés une nouvelle fois avant que je descende de la rame.
Pendant quelques jours, nous nous placions face à face se tenant par les hanches et nous restions ainsi lun contre lautre en simulant lacte damour, en nous embrassant pendant cette vingtaine de minutes, la durée du trajet.
Malheureusement, sans mavertir, du jour au lendemain, je ne lai plus revu, je navais même pas pensé à prendre son numéro de portable, je minsultais dêtre aussi naïve et imbécile. Je métais résignée et métais rassurée en me disant quil devait avoir une petite amie, que notre jeu érotique du métro nétait quune aventure sans lendemain.
Nayant pas de petit copain, à cette époque, cette relation me manqua rapidement, tous les soirs sur le quai, jétais à la recherche dune proie, jétais comme en manque. Malheureusement, je ne trouvais pas le bon garçon qui pouvait me faire rêver. Jétais retournée à mes anciennes habitudes de ressentir les hommes pressés contre moi sans quils ne soient tous des pervers.
Pourtant, une fois encore, ce soir-là j'étais en jupe, pas si courte que cela et portait des collants. Un homme avait clairement mis sa main sur mon entrejambe, bien en dessous de ma jupe. Jétais restée bouleversée, je métais retournée pour gifler lindividu mais je n'avais pu le faire, je navais même pas dit un mot. Lhomme osa me sourire, javais tellement honte que je me retournasse dans la position initiale.
Ce genre de frottage, narrive pas tous les jours, tous les hommes nétaient pas des vicieux irrespectueux et dépravés, heureusement. Une des situations la plus incongrue que je connus dans le métro, se passa un matin. Je partais à l'université en prenant la ligne directe partant de chez moi. Jétais assise dans un carré où se trouvait une dame à mes côtés discutant avec sa voisine den face et un monsieur dun certain âge, la cinquantaine peut-être, en face de moi.
Jétais donc contre la fenêtre dans le sens contraire de la marche et lisais un thriller. Après quelques minutes, je sentais le regard du quinquagénaire posé sur moi, Je me sentais mal à l'aise, je ne quittais pas mon livre des yeux, jessayais de me convaincre que je me trompais.
Comme les deux femmes discutaient entre elles et quil cachait son bas ventre avec le pan de sa veste, en regardant sur le côté de mon livre, javais aperçu quil astiquait de sa main droite, sa verge en érection, sortie de sa braguette. Placée ainsi, j'étais la seule à pouvoir le voir. Je n'osais plus regarder, javais honte davoir laissé mon entrejambe à la vue dun inconnu. Pendant le restant du trajet, je navais plus levé les yeux de mon livre. Lorsque que je métais levé pour quitter le métro, à la station de destination, il avait remis son sexe à sa place. Je métais retrouvée sur le quai, quand je maperçus que mes chaussures avaient reçu un liquide poisseux et gluant. Cet homme était parvenu à éjaculer en ma présence sans que personne sen aperçoive.
Néanmoins lexpérience la plus excitante sétait produite cette année. Je partais pour lUniversité en plein cur de Paris. Comme chaque jour, je prenais cette ligne, jétais debout contre la porte côté voie, je regardais dehors. Le métro était de plus en plus bondé, la pression des gens derrière moi était de plus en plus forte. À chaque arrêt, les voyageurs sentassaient un peu plus, tout le monde reculait.
Lhomme derrière moi était très beau, la trentaine et très bien habillé. Au départ, il ne voulait pas me comprimer contre la fenêtre, il mettait ses bras contre la vitre de chaque côté de ma tête afin déviter le contact avec moi. Lair de rien, je tendais de plus en plus mon arrière train vers lui, ce qui eut pour effet que mes fesses se trouvaient contre son pantalon. Je pense quil avait compris car très vite, jai ressenti son sexe grossir au contact de mes fesses. Lui poussait si fort que je ne pouvais plus bouger.
Là, dans la station, possédant chacune deux voies encadrant un quai central, le métro sétait arrêté et la porte face à moi sétait ouverte, je me retrouvais comme par magie du côté quai. Je suis sortie un instant de la voiture pour laisser les passagers sortir. Je lai regardé, nous nous sommes souris, il désirait que je remonte, il me tendit la main que je pris volontiers et nous nous étions retrouvés lun contre lautre face à face. Il avait visiblement le sexe en érection. Après mavoir invitée à descendre avec lui deux stations plus tard, nous avions pris un verre en terrasse et je métais retrouvé dans son lit dans un hôtel du centre-ville. Aujourdhui, je vis avec Mario et nous avons décidé de nous mariés après mes études.
Le fantasme de « faire lamour dans un train » est toujours ancré au plus profond de moi-même.
Si comme Diane vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.
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